Samedi 28 juin 2008 à 17:57

J'écoute ce disque. Celui que j'écoutais déjà avec mon lecteur cd portable. Je l'aime bien ce cd. Je me souviens que je l'ai écouté un nombe incalculable de fois. Je me souviens que je le mettais lors du moment des slows parce que les quatre dernières chansons sont magnifiques. Je passais egalement la chanson numéro deux, celle ci encourageait les garçons les moins frilleux à oter leur chemise. J'aime bien ce Cd aussi parce qu'il appartenait à mes parents, et je me plais à aimer le retro en ce qui conserne la musique.

[Quand j'étais petite je chantais : "I want your Sex " de Georges Michael, sans savoir ce que ça signifiait. ]

Samedi 28 juin 2008 à 11:43

-Je le déteste ! Ce n'est qu'un beau parleur !
Salomé semblait très en colère lorsqu'elle entra dans le palais cette après-midi là. Comme à son habitude, elle rentrait de l'une de ses balades le long du fleuve. Je dis : balade parce que je ne suis pas autorisée à vous révéler dont il s'agit réellement.
-Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
-C'est Jean-Baptiste ! Encore et toujours ; s'indigna-t-elle. Il a osé me tromper ! Moi ! Je l'ai vu embrasser une autre fille ! Une espèce de pimbêche rousse ! Non pas que j'ai quelque chose contre les rousses. Mais tout de même ! Pour excuse, il m'a dit que nous n'avions aucun avenir puisque j'étais princesse et lui un simple jardinier. Comme si c'était la première fois que j'entendais cette excuse ! Tu vois c'est ça le pire ! Il est comme les autres, mais en pire ! Comme la rage bouillonne en moi ! J'aimerais le boxer, ou mieux : qu'on le décapite sur le champ ! Qu'on le décapite que et l'on m'apporte sa tête que je puisse m'amuser avec !
-En voilà une bonne idée !
Son visage s'éclaira, elle avait saisi mon plan. Avis aux lecteurs, que l'on s'entende bien, je suis la servante, confidente, et meilleure amie de la princesse. C'est-à-dire que je suis là pour l'aider, la servir, lui procurer ce dont elle à envie, la couvrir, et la protéger en toutes circonstances. Même si parfois j'en ai assez et que j'aimerais mieux l'envoyer sur les roses, (mais rassurez vous ça n'arrive que très rarement). Seulement là, bien qu'elle l'ignore, c'était différent car le garçon dont il est question ici m'avait déjà blessé avant qu'il rencontre Salomé. Il avait refusé mes avances. Or je suis aussi jolie que Salomé.
C'était l'un des plus importants critères que nous devions remplir afin être choisie pour meilleure amie. Etre aussi magnifiquement sublime que notre princesse.  Cette dernière ne voulait pas attirer tous les regards sur elle. Elle ne veut être amie qu'avec une fille capable de l'égaler en beauté. Autrement dit, elle tout comme moi, avions le monde à nos pieds ; enfin les hommes. Alors par quel détour de son imagination, ce jeune homme a-t-il cru pouvoir me rejeter aussi simplement. De plus, l'année passée, Salomé et moi avions pris des cours de danse érotique, histoire de nous amuser un peu. La semaine dernière, lors d'une soirée royale dont l'assemblée était exclusivement composée d'homme, nous avions fait notre entrée telle des vedettes de cinéma, puis avions tenté de charmer l'assemblé. Le roi, qui était le beau père de Salomé, par ailleurs beaucoup plus jeune que sa femme ; d'au moins quinze dans d'après Salomé, n'avait cessé d'afficher un grand sourire. Nous étions donc entrée et avions fait notre petit numéro toutes les deux, et avions beaucoup plus. A l'issu de cette soirée, le roi promis de nous offrir tout ce que sa belle fille voudrais, que ce soit un attentat en Australie, un avion ou encore tout ce qu'elle pourrait vouloir, pourvus que nous recommencions notre numéro la semaine suivante. C'est-à-dire le soir même de la tromperie de Jean-Baptiste. Il a une semaine nous nous étions dit que peut être nous irions, ou bien peut être pas. Aujourd'hui, je lu dans les yeux de Salomé que nous irions et qu'elle savait exactement quoi demander à son beau père.

Nous sommes ensuite allées manger, et nous préparer. Nous avons enfilé les vêtements les plus courts et révélateurs qui se trouvaient dans l'immense dressing princier. Le but étant de faire sensation et évidemment de plaire afin que la promesse soit réitérée. Un peu après l'heure prévue, nous nous sommes mises en route. Toute fille qui se respecte ne se pointe pas à l'heur, mais elle se fait désirer. Nous avons fait notre entrée et nous sommes mises à danser. Tous les regards étaient tournés vers nous. Les hommes n'auraient pu détacher leur regard de nous, même si le palais s'était mis à bruler. Nous ondulions et nous déhanchions au rythme d'une musique orientale. Rapidement, j'ai bien compris, en voyant le phallus de ce monsieur se dresser, que cela plaisait. Après environ cinq minutes de danse, nous étions exténuées et en sueur.
-Alors, cher Bon-papa, cela était-il à ton gout ? demanda Salomé

-Oh mes petites Chéries, répondit le tétrarque. C'était du grand art ! Absolument sublime. A présent, comme je te l'ai promis, demande-moi, ce que tu veux ! Ce que tu veux, et tu l'obtiendras de moi !
A ce moment-ci, Salomé me regarda, et sourit. Un sourit diabolique. Que je lui rendis. Nous allions obtenir notre revanche sur cet homme qui ne su nous obéir, malgré son peu de pouvoir.
-Je souhaite … (Elle émit un petit temps d'hésitation, non pas parce qu'elle hésitait, mais pour faire durer le suspense.) la tête du jardinier sur un plateau d'argent.
En disant ces paroles elle alla se frotter tout contre son beau-père, et lui promit à l'oreille une nouvelle danse mais privé, en échange de cette faveur. Personne d'autre que ces deux là ne l'entendit, Salomé me confia cette messe basse un peu plus tard. Bien-sûr elle n'était pas obligée de lui promettre cela, mais elle voulait rester en de bons termes avec notre tétrarque et savait que ceci l'y aiderait.
-Que l'on décapite ce cher Jean-Baptiste et qu'on apporte sa tête à ma nouvelle fille, et attention sur un plateau d'argent ! Salomé, que veux-tu que nous fassions du reste du corps ? demanda-t-il en lui souriant.
-Vous n'avez qu'à le donner aux lions. Qu'il serve au moins à quelque chose.

Jeudi 26 juin 2008 à 0:04

Ahhh Les filles, qu'est ce que l'on en a dit des conneries durant ces préparatifs pour notre second spectacle ...
Voici les meilleures :
 -Notre petite expression de la dernière répètition : "Tête d'enfarinée"
- Ma petite phrase toute choupinette : "Je ne supporte pas tout ce qui se met sur les lèvres. Hormis les garçons. "
- Le quiproquo : "Il m'a enlevé une bague j'avais pas vue " - " Qui ton mec  ? " - "Mais non, l'orthodentiste Boufonne ".
- La petite phrase qui dans le contexte provoque un fou rire "J'aime bien Lili comme prénom"
- La dispute, la compétition : "Raphaël t'es beau, dit le : Je suis beau. T'es trop beau." - " Vasi arrète de le draguer ". Quelques secondes plus tard : "Tu me dis de pas le draguer mais toi tu lui donne un bonbon" - "On doit les descendre ? Ou alors Raphaël tu peux rester avec nous ..."
BANDE DE PEDOPHILES :)

Vincyane : Tu vas nous manquer !!
Clem' : Monte avec nous :)
A vous toutes : Vous êtes formidables, vous êtes vous, c'est magnifique.

Mardi 24 juin 2008 à 18:15

SURPRISE...

J'ai aimé ce livre, j'ai aimé l'histoire. Mais je suis si jalouse. J'ai envie d'une Jeep. J'ai envie de trembler.

Mardi 24 juin 2008 à 15:34

J'étais rancunière, très rancunière. Je pouvais faire durer ça dans le temps. Longtemps, très longtemps. On n'a pas cessé de me demontrer inconsciemment que je ne devrais pas être si obstinée et qu'en bonne chrétienne je ferais mieux de pardonner. Alors je m'attèle à cette tâche, et je m'efforce de mon montrer agréable avec ces protagonistes des erreurs qui sont fatales à un quelconque respect de ma part. J'en fais des efforts, tout me semble faux, et je me trouve fausse. Je me trouve fausse lorsque j'adresse ces quelques mots à ce très anciennes amitiées. Mais je ne me décourage pas. Je travaille sur moi même, des semaines durant. Je fais des projets, je me force à sourire, et je m'oblige à me mentir et me faire croire que tout ça n'avait aucune importance. Quand je parviens enfin à m'en convaincre, je me sens soulagée. Hélas un défaut chassé, un autre apparait. Si j'avais su. A présent c'est de cette garce de jalousie dont il s'agit. Elle me fait detester encore plus que d'habitude certaines personnes, encore plus qu'elles ne le méritent, quoique. Peut être bien que c'était mérité, mais je n'apprécie pas. Heureusement la jalousie n'est que partiellement présente pour le moment, je ne compte pas la laisser continuer, elle va s'en aller, à la même vitesse qu'elle est venue. Ma vie est belle, je n'ai aucune raison de jalouser quiconque. Ce ne serait pas juste, pas respectable. J'aime me rejouire sincèrement pour les autres, je ne supporterais pas de jouer de celà. Alors je vais travailler, plus encore, je vais me forcer s'il le faut, je me torturerais psychologiquement même pour ne plus ressentire ça. J'y repense, et ça fonctionne déjà, comme jalouser une hypocrite de toutes façons. Impossible. Comment jalouser quelqu'un de malheureux. Impossible. Non, je ne suis pas jalouse, mais durant un cours instant j'y ai gouté, et je dois dire que c'est amèrement deguelasse comme plat.

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