Samedi 29 novembre 2008 à 18:00

Dieu comme certains hommes provoquent de drole de sensations...
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Chuck Bass is Chuck Bass.

On appel ça un coup de foudre, ou tout simplement la vie. Certaines personnes sont plus influantes que d'autres. On rêve, et on imagine des choses, qui jamais n'arriverons, on le fait tous, au détour d'une rue, à la sortie d'une pièce, en rentrant chez soi, en débarquant en retard, on imagine que l'on est capable de prendre le contrôle, sur tout, sur les autres, et surtout sur nous même. On imagine des choses romantiques à vomir ou érotique à souhait et on en profite, on se crée son monde, dans lequel personne ne fait un pas de travers, à moins que ce soit calculé... Et quoi qu'il arrive tout se termine bien. Enfaite les contes de fée ont probablement été inventé par les petites filles qui rêvaient qu'on vienne les chercher dans leur chateau gardé par leur mère. Elles ont raconté des histoires à leurs poupées, puis à leurs amies, puis à leurs enfants et enfin aux frères Grimm. Enfin je dis ça mais je n'en sais rien, c'est juste que lorsque l'on y pense, les adolescentes s'imaginent tant de contes qu'on pourrait écrire un livre avec ceux là, et je suis certaines que ces histoires seraient lues, à condition quelles soient bien écrites évidemment.

 

Chuck c'est le fantasme de tant de jeunes filles ? Vous ne croyez pas ? Au début, je pensais être la seule à l'apprécier, je peux être sii égocentrique, puis en parlant, on réalise que de nombreuses filles aimeraient vingt minutes après s'etre fait larguer : entrer dans un bar, abuser de la boisson, faire un streap tease sur scène, pour enfin perdre sa vertue avec le meilleur ami de son Ex... Principalement si c'est Chuck. C'est drole comme en faite une vilaine fille reste une vilaine fille, et comme toutes les filles sont vilaines...

Jeudi 27 novembre 2008 à 12:26

Audrey souffre.



Ne vous inquiètez pas, je suis juste malade, comme une maladie qui se soigne avec des antibiotiques et des médicaments. Je suis malade alors je souffre, même si par moment, on arrive a me distraire de mes souffrances et celle-ci passe en arrière plan quelques minutes... Si vous pensez que mon coeur ou mon moral souffre alors vous vous trompez, mon moral souffre inlassablement du à la vie tout simplement, et même dans des moments très joyeux il souffre tant il pense, et cela depuis si longtemps que ce n'est pas de la souffrance c'est juste vivre. Pour ce qui est de mon coeur, étant porté aux abonnés absents, tout va bien. Je ne sais même pas s'il a eu une place important un jour... Un peu comme les états unis ont fait chaise vide à l'Onu il y a peu, mon coeur fait chaise vide en moi et laisse ma tête dirriger seule. Ma tête : cette dictature au jugement sans arrêt réfuté par elle même qui ne sait en aucun cas accorder ses pensées nouvelles aux précédentes. Non vraiment, tout va bien, je souffre ... comme des millions de personnes voilà tout.

Dimanche 23 novembre 2008 à 19:22













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Vous ne vous demandez jamais ce qu'aurais été votre vie si vous n'aviez pas fait les mêmes choix, si vous aviez posé un lapin, changé de projet, étiez allé à une mauvaise adresse, fait comme si de rien était, aviez menti, aviez dit la véritée vraie au lieu de ce que vous avez réélement fait. En puissance, nous pourrions être tant. Mais en Acte, nous sommes si peu, si pittoyable, si pathétique... Et si l'alphabet commencait par la lettre Y ou K ? Et si la couleur Bleu n'éxistait pas ? Et si notre corps était aussi dure que l'acier ? Ma vie serait probablement une autre. Prendre des décisions, avouer ses désirs, se retenir, se comprendre, se faire comprendre, garder le silence... Il arrive que ce soit difficile. Mais rire, plaisanter, et se resouvenir avec des gens formidables, c'est facile, c'est simple, mais en aucun cas simpliste. Floriane et Fanny, j'ai adoré lister ces nombres avec vous, tout en prenant en compte les lettres evidemment (Nous sommes des jeunes filles ordonnées). Parfois j'oublie de dire des choses, mais il y a des épisodes de ma vie que je n'oublie pas : des rencontres, des accidents, de l'espièglerie, des lettres, des cartes, des fêtes, des soirées, des expériences, des odeurs, des baisers, des blessures, des griffures, des coupures, des bleus, des affiches, des personnes, des films, des conversations téléphoniques, des câlins, des jeux, des boissons, le froid, des massages, des conversations msn, des rires, des enguelades, des batailles de coussins, des achats, des parties de Wii, des concerts, des chorégraphies ou encore des accroche-décroche pieds nus à cinq heurs du matin peu vêtue...

Vendredi 21 novembre 2008 à 13:28


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J'ai souvent envie d'écrire, j'ai inlassablement envie de contacte,
et définitivement besoin de câlin. Je me met à tomber dans les bras de gens,
inconsciemment et au sens propre, ainsi qu'à bousculer de nombreuses personnes.
Je vis une histoire particulière avec mon chat, qui à pris l'habitude de venir dormir sur moi,
quoi que je sois en train de faire, il trouve sa place. Et je me suis mise à difficilement résister
à l'appel du sommeil, excépté lorsque l'appel des sens est plus grand et qu'il m'obscède.
Je me met à faire des récits au passé simple et à ignorer des regards. La vulgaritée me plait
tout comme les euphémismes sexuels, ainsi nous nous éduquons, nous ne forniquons pas.
L'opinion public, quelle merde, ça nous empêche tellement d'actes plaisants, enfin...
je parle pour vous, moi je m'occupe de mes affaires. Comme le dit très bien Monsieur
le professeur de philosophie : "la vie privée c'est ce que l'on a de plus précieux". C'est vrai
que l'opinion public condamne beaucoup de chose mais d'un autre côté, elle ne devrait
pas condamner ... le sexe sans sentiments par exemple, surtout sans avoir testé.
Et même si le jugement n'est pas entendu, et qu'il se fait interrieurement, il ne dérange
personne réelement, et il n'a aucune conséquense, mais même un jugement interrieur gêne.
Tout gêne, tout nous dérange, ce que l'on pense et pire, ce que les autres pensent de nous :
"L'enfer c'est les Autres". Ce Cher Jean paul n'avait pas tord lorsqu'il a dit ça. En aucun cas
je n'aimerai lire dans les pensées de qui que ce soit, excépté dans celles de cette fille
qui connait tout ses cours pas coeur, mais et encore...

Jeudi 13 novembre 2008 à 14:49

Je n'écris plus, plus comme avant, j'écris de plus en plus mal, de moins en moins logiquement et de plus en plus de d'habitude stylistiques se mettent en place, je n'aime pas ça, je n'aime pas ça du tout, je me répète, sans arrêt. Je recopie encore et encore la dernère expression que je viens d'employer, pourquoi ? Je l'ignore, j'écris comme je pense, je n'écris pas comme je parle, et c'est tant mieux car je m'exprime si mal oralement. Personne ne parvient à sentir les intonations fausses dans la voix, personne ne comprend que bien que si je dise quelquechose, il est possible que je pense très fort le contraire. L'écriture c'est bien, c'est un belle invention,
mais là encore il faut savoir lire entre les lignes.

J'ai une boîte à malice, elle est pleine à rabord, je vais devoir la changer en un tiroire bientôt, et peut être même en armoire plus tard. Me connaissant, ce ne serai pas si etonnant, j'y ai toujours aspiré. Je ne change pas en réalité, je choque peut être mais tout ce que je fais c'est devenir qui je suis. Je me suis retenu pendant tout ce temps parce que ce à quoi j'aspire ne peut être vécu à quatorze ans, ce n'est pas acceptable. Ce a quoi j'aspire, je le vivrais pleinement quand j'aurais quelques années de plus que la majoritée. Vous verrez bien, ou peut être pas, qui sait si j'y arriverais un jour, peut être que je ne vivrais pas jusque là. En attendant ce pouvoir être à ces moments dont je rêve, je m'entraine, et je fais des réserves en info comme en matériel. En effet vous avez bien saisi, je commence déjà à acheter la vaiselle pour mon monter mon ménage avec l'homme de ma vie... L'homme de sa vie, comme si un seul homme pouvait suffir à toute sa vie. Quel Mythe ! Les femmes qui y croient encore me font bien de la peine, biensur vous vivrez sans doute quelquechose de sympathique avec un homme et vous aurez même probablement des enfants avec, c'est bien oui, mais vous convaincre du fait que vous aimerez cette homme toute votre vie et que lui aussi, ça m'étonnerais, mais alors si en plus l'un des deux se force (ou pire ! Les deux) c'est vraiment plus qu'idiot, comme si se mentir et mentir aux autres à propos d'amour était structurant pour ses enfants et son entourage. Quelle bétise de croire ça. Bien en contraire, l'amour qui dure éternellement n'est que baliverne. Je suis peut être jeune pour dire ça, mais j'en suis convaincue.

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