Dimanche 22 juin 2008 à 10:32

Un jour tu comprendras cette vie qui est la mienne, ces folies qui ne sont que moi.
Assise au bord du lit, j'attends que l'orage pasee.
J'entends le telephone et je ne reponds pas, je ne veux voir personne, je veux être avec moi.
Je veux juste penser assise au pied du lit.
Je vis ma vie sans être sage.
Je veux dire vrai sans jouer faux.
Un je regrète pas, un malheureusement.
Un par defi, un par plaisir.
Une pour tous, et tous pour une...
C'est pas toi qui m'auras, je choisis qui me va, j'aime contrôler l'histoire.
PAULINE. PREMIER ALBUM : ALLO LE MONDE.
J'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. J'aime.


TROUVER CHAUSSURE A SON PIED 
Est-ce un ordre ou un conseil ? Vivement les soldes.

Les "signes" existent-ils  ?
D'après Cosmo, ou du moins j'une de ses redactices, la réponse est non.
Ces histoires de "signes" ne sont que des conneries et il faudrait arrèter de se voiler la face.
D'après Miss-Superstition alias Floriane, ça existe.
J'ai envie de m'arracher les cheveux mais maman vient de me payer le coiffeur alors je vais eviter.

J'ouvre la page d'accueille Orange : et je vois écrit : Audrey.
Il me faut peu de chose pour me rejouir et me dire que la journée ne devrait pas être mauvaise...


Dimanche 22 juin 2008 à 10:31

[ Dans mon élément. ]
J'ai  récolté un bleu.
Et des maux de tête...
On se fait des nouvelles coupines, on rit et on choque une fille génialissimement petite. On recontre des Ailes, et on leur fait la bise pour la première fois en un an. On trouve le moyen de se faire inviter à des soirées. On decide d'organiser un nouveau type de soirée ... Particulier, mais egalement particulièrement interessant. On promet des visites d'endroits exhaltants. On revoit des copains, et copines du collège. On fait des bisous aux Serbes. On revoit d'anciennes connaissances. On écoute Barbie. On perd ses amis. On se perd dans ses pensées. On patiente vingt minutes pour trois biere. On reclame de voir un salto.  On cherche de Alcool. On regarde une vieille femme danser. On recontre un type bizarre, bizarrement marrant et totalement fou. On reçoit un nouveau surnom...
 

Vendredi 20 juin 2008 à 12:54

Allongée dans le noir, cherchant un endroit où je pourrais poser ma tête. J'ai envie de courir, de danser, de trepigner. Oh oui j'ai très envie de danser, de danser comme eux, ou bien de courir, j'ai bien envie de me faire une série de dix suicides. Mais d'abord je dois dormir, j'ai une grosse journée demain, bah ouais demain c'est le bac, ah j'ai trop hâte de recevoir le sujet. De voir sur quoi ça va porter, quels auteurs on découvrira. Je ne devrais pas oublier de prendre un montre, ah non c'est bon, je l'ai noté sur mon tableau. Enfaite ça ne me plait pas, ma tête n'est pas bien installée, en plus j'ai chaud, je deboutonne ma chemise un peu plus, je pousse la couette vers le bas, j'ai froid je la remonte. Je met ma têt sur un oreillier neuf, trop haut ; sur le traversin, pas assez de place. Nampèche ils ont parlé du gars et de ses études mais ils ont pas parlé de sa copine, comme quoi tout est effemère excepté les études, en même temps j'ai pas de soucis comme j'ai envie d'apprendre plein de choses. Non ça va toujours pas, il me faudrait un nouvel oreillier, en plus j'ai envie de courir, tien demain je vais transformer un ancien jeans en un short, enfin je vais dire à le coutirière de le faire parce que je ne saurais pas le faire, ce serais du gachis. Après un fois que j'aurais mon short j'irais courir le tour du paté de maison. Puis je danserais, je mettrais la musique si forte que je n'aurais plus de timpans, il faut que Clémentine me fasse penser pour vendredi soir, j'ai vraiment envie d'aller faire un vrai cours de danse. J'ai encore chaud, je ne peux tout de même pas descendre et me defouler un peu sinon l'adrénaline va m'empêcher de m'endormir ensuite, a moins que je me fatigue tellement que je ne puisse plus que dormir. non non je n'auais pas le courage de m'épuisser autant. Nampèche c'était une belle preuve d'esprit d'équipe lorsque Chaning a dit qu'il ferait les pompes à la place de l'autre. J'ai bien aimé l'initiative, mais comment ils ont fait pour pas craquer je veux dire : MILLE pompes quoi ! Et quatre vingt suicides ! Ils sont forts les vrais sportifs, nous ont a des poloistes qui se plaignent pour marcher trois kilomètres et aux ils font cinq cents pompes normalement sans râler ni rien. Nampèche il est bien ce film, ya des acteurs connus, enfin qui ont joué dans des films comme :  Dance with me, OTH, Step Up... Ah j'ai froid, j'ai envie de bouger ...

Mercredi 18 juin 2008 à 15:44

Un jour peut être j'arrêterais de refléchir autant.
Un jour peut être je marcherais sur la lune
Un jour peut être j'obtiendrais ce que je veux
Un jour peut être je serais joyeuse à cause de mon bonheur
Un jour peut être je n'écrirais plus rien
Un jour peut être ce rêve fou se realisera
Un jour peut être je changerais d'opinion sur tout ce qui m'entoure
Un jour peut être je ferais quelquechose de bien
Un jour peut être mon destin me tombera dessus
Un jour peut être je m'ennuirais dans la vie
Un jour peut être je serais l'une d'entre elles.

Pourquoi avoir un pouvoir de déduction si devellopé en ce qui conserne les histoires fictives et non pas la réalitée ? 
 
Je ne veux pas être comme cette bonne vieille Astolat. J'espère que ça ne m'arrivera pas, pas dans cette vie en tout cas, je ne serais pas apte à me suporter si cela m'arrivait. Je crois même que si je me trouvais dans une situiation aussi critique, je mettrais probablement fin à mes jours. Cette pauvre fille, je la plains. Hier j'ai regardé un film trop triste, un film où lorsque le héros à trouvé ce qu'il voulait qu'il promet mont et merveilles, au lui de cloturer sur un baiser final avec sa belle, le film continu trois minutes de plus le temps qu'il se fasse tabasser et meurt, j'ai trouvé ça si triste.

Comment faire quelquechose d'original que ne soit pas laid ?
Bonne question ...

Lundi 16 juin 2008 à 17:54

Soirée durant laquelle j'ai perdu assez pour une DIZAINE d'année. J'ai épuissé mon stock de malchance. C'est Officiel (Ou plutôt officieux tant qu'à faire ...)

Floriane dit : "Cache toi derrière tes cheveux"

Audrey dit : "Couche toi"
Floriane demande : "C'est un ordre ?"
Audrey répond : "Ah, Mais non, je parlais au chat"

Floriane écrit : " La peur de notre vie. Enfin, peut être pas de notre vie, mais c'était flippant. On marchait dans la rue dans les environs de 1h53 du matin, je ne suis plus très sure. Bref. Et forcement la rue était deserte, nous sommes seules. Puis Badaboum mon pied glisse sur le sol en faisant un bruit bizarre, une sorte de crissement lourd. Comme dans les films d'horreur. Ah oui on parlait de ça justement. Et Audrey a eu trop peur en entendant ce bruit. Et moi j'ai eu trop peur en voyant sa réaction car je n'avais pas entendu ce fameux bruit. Et j'ai courru. Audrey a courru (Bon apparament je l'ai tire en même temps). On pensait trop que c'était fini pour nous, qu'on allait mourrir. "

Audrey dit : "C'est toi ce bruit" - Floriane répond :  "Quel bruit ?"

Audrey dit : "Quel bande d'enfoirés", Floriane répond : "C'est claire, je leurs parle plus! "




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