Dimanche 14 décembre 2008 à 23:26

Elle était au bord de cette rivière, si proche que ses orteilles nus touchaient l'eau glacée. Elle réléchissait à ce quelle venait de faire. Pour une fois, elle avait agit, elle avait repoussé ses doutes et ses peurs à plutard, et c'est maintenant qu'elle devait s'y confronter. Elle n'a rien dit, elle ne l'a pas mi en garde et n'a pas pu lui expliquer la situiation. Elle l'aime, bien sur quelle l'aime, mais elle ne veut pas être avec lui, ou plutôt si, elle veut passer du temps avec lui, elle veut le protèger et prendre soin de lui, être là dès qu'il le faudra peut importe quand. Elle veut du bonheur pour lui, mais elle ne veut pas être en couple, elle veut être son amie voilà tout. Elle a cédé à ses pulsions, elle le regrette même si c'était si bon. Ah ça oui, Dieu comme elle avait aimé ça. La musique sous leurs corps qui faisait trembler le sol, le sol dure mais pas autant que ces membres ou ces muscles contractés lors de leurs mouvements. Ce vas et vient si plaisant, et ces senteurs enivrantes, tout ces phéromones qu'il dégageait l'ont envouté. Sa conscience ne contrôlait plus rien, ce sont ses pulsions qui se sont mise à la gouverner et à l'entrainer dans cette salle de bain vide et sombre. Il n'a pas trop compris, l'alcool faisait qu'il se laissait entrainer dans refléchir, s'il avait su ... aurait-il fuit ? L'aurait-il raisonné ? Elle l'ignore totalement, ou plutôt elle ne souhaite pas le savoir. Elle avait tiré sur la chemise pour approcher son oreille de ses lèvres avant de lui chuchotter "Faison le, soyons fou, c'est la fête après tout" tout en riant. Il a sourit et ils se sont embrassés. Au bout d'un instant et alors qu'elle commencait à sentir autrechose de dure que la poignet de la porte dans son dos, il s'est laissé tomber au sol, sur le tapis moelleux. Etait-il nouveau ? Elle ne se souvenait pas de l'avoir déjà vu, mais vu le degré d'excitation dans lequel elle se trouvait ça aurait aussi bien pu être des clous. Alors elle l'a chevauché tandis que d'une main, elle déboutonnait le pantalon de l'homme. Il semblait un peut ailleurs, comme dans un sorte de parallèle dans lequel s'envoyer en l'air avec ses amis était un phénomène habituel pour lui, pourtant elle le connaissait bien et elle savait que non. Il souleva sa robe tandis qu'elle se redressait. Leurs deux bustes formaient un angle droit. Elle le regarda et il la regarda, dans l'obscurité ils auraient tout aussi bien pu être des étrangers. Il lui ota sa robe. Elle se retrouva en sous vêtements et bas, le tout de couleur noir, tandis que son pantalon à lui était resté à ses genoux. Il se souleva du sol pour approcher ses lèvres, elle se pencha sur lui, et tandis que leurs mains les aidaient, ils s'embrasèrent avec désir. Enfin, ils firent corps un l'un avec l'autre, lentement au début, comme pour comprendre ce que l'autre souhaitait puis le rythme s'emplifia, leurs respirations s'excellérèrent, leurs baisers prirent de l'ampleur, plus fort et plus intense. De plus en plus fort, de plus en plus bon, des gèmissements sortirent de sa bouche. Elle aimait tant. Plus fort encore, et plus inimaginablement bon. Et ça continuait encore et encore. Elle aurait voulu que ça ne s'arrète jamais, qu'on les envoient dans une bulle où ils continuèrent indéfiniment cet acouplement. C'était incroyable même si elle avait déjà connu le plaisir elle n'avait jamais imaginé que ça puisse être aussi intense. Ils étaient restés longtemps alongés, elle sur lui, à tenter de reprendre leur respiration. Il était tard, très tard, ou plutôt très tôt. Lorsqu'elle redescendit en vitesse, le laissant dans cette salle d'eau sombre seul, en profita du dépard d'une amie pour s'en aller aussi. Mais au lieu de rentrer chez elle, elle préféra se rendre un petit temps au bord du lac, elle avait besoin de refléchir plus que de sommeil. De plus elle se trouvait proche de chez elle, ainsi elle ne risquait rien, et surtout pas de se perdre. Elle ne savait pas si elle devait ignorer, l'ignorer ou encore en parler. Elle savait qu'il avait aimé, elle l'avait lu dans son regard et c'est ce qu'il l'avait faite fuire. Souhaiterait-il recommencer ? Etait-ce pour lui uniquement physique ou l'aimait-il vraiment ? Elle l'aimait mais pas comme l'on aime un amour. Il était son ami voilà tout; mais à cause de ce qu'elle avait fait rien ne serai plus comme avant. Elle attapa un petit cailloux sur sa droite pour le jeter rageusement dans le lac. Elle s'en voulait, elle ne regrettait pas l'acte en lui même, elle regréttait de ne pas avoir pris ses précautions avec le coeur du garçon. Et tandis qu'elle pensait à ce garçon justement, et aussi curieusement que ça puisse paraitre, elle le vit apparaitre au bout du chemin, il s'approcha vers elle sans la voir puisqu'il observait ses pieds. Elle ne savait que faire et pensa à fuire lorsqu'il leva la tête et la vi. Une indéfinisable expression se grava sur son visage. Elle ne su qu'une chose : Ils devaient parler, alors sans même qu'aucun des deux ne dit un mot, il s'assit à côté d'elle, et comme si c'était la chose la plus naturelle pour eux, ils s'embrassèrent.

Mardi 9 décembre 2008 à 18:05

Ecouter, battre le rythme avec ses pieds, chanter, danser, se lever, applaudire encore et encore. Rentrer chez soi et apprendre une victoire. Sourire seule ou accompagnée. Vivre. Pleurer encore et encore lors des mêmes mots, même choque authentique malgré la répétition. Mais aimer ces sentiments. Savoir que ça ne changera pas tout. Se taire encore et toujours. Savoir que tout change, et que tout est en train de changer. En être soulagée. Ecrire très mal. Faire des projets dans sa tête, se faire des films et s'inventer des scénarions. Avoir des trucs à écrire, et à vivre. Se laisser porter pas chaque musique même si chacune d'entre elle a une fin. Ne pas l'écouter en boucle. Regarder dans les yeux, longtemps et rire. Rire encore et encore, faire des blagues, aimer ses copines, son ami d'enfance et son Nico. Aimer passer du temps avec eux, leur parler, rire avec eux et les photographier. Recevoir une bague, et l'adorer parce qu'elle est symbolique. Avoir envie d'assister à un marriage encore et encore. Telephoner, organiser, tout préparer dans sa tête, structurer la soirée, et être en parfait timing, trouver des solutions, chercher, et refléchir mais surtout adorer ça, et se demander que faire de cette passion ... Tatouage, où et quoi ? et surtout pourquoi ? (une pomme verte ou un ventilateur ?) Love <3

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Lundi 8 décembre 2008 à 12:56

http://laptiteblonde.cowblog.fr/images/2128919527small4.jpgSurprise.

Chuuuuut! Ne dis rien. Tais toi et ferme là. Tu ne sais rien, tu crois savoir, mais tu ignores tant, pas vrai ? oh oui, je ne sais rien, je ne peux pas parler sur ce que je ne sais pas, ce serai bête. Et puis même, j'ai pas envie, j'ai pas envie que l'on sache alors que je ne sais pas. En plus c'est pas vrai, je sais mais je ne veux pas le savoir, et si je le dis, même si je dis que je ne sais pas, les gens vont penser qu'ils savent alors que ce sera faux. Tant de jugement précipités pour rien, pour de la merde parce que tout ça c'est ce que c'est, c'est de la merde, c'est merdique putain. Parfois il serait plus simple décrire nous même le matin, le scénario de la journée qui va se dérouler et de s'y tenir, alors que l'on ne contrôle rien de ce qu'il se passe en vérité, c'est embarassant parfois. Je comprend rien, je veux pas comprendre, je veux que l'on me dise ce que je ne veux pas que l'on me dise pour pouvoir dire que je ne veux pas, alors qu'en réalité je le veux, mais je ne veux pas parce que c'est impossible, mais je veux qu'on me demande pourquoi et qu'on me prouve que j'ai tord, c'est sii difficile à comprendre pour moi alors comment les autres pourraient ils savoir ce que je veux qu'ils sachent si je ne dis rien, et que je me tais. C'est pas facile de se taire en plus, quoi que mais c'est plus facile lorsque les gens sachent, et puis je ne veux embarasser personne, ni moi, ni les autres. oh, et si je me taisais, c'est quand même plus facile que de dire des choses, et de se mélanger dans le récit, dans les paroles que l'on voulait dire parce que si on s'explique pas clairement on peut agraver les choses, quoi que c'est déjà assez particulier. Je sais : Je me tais, je vis et je fuis.

Samedi 29 novembre 2008 à 18:00

Dieu comme certains hommes provoquent de drole de sensations...
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Chuck Bass is Chuck Bass.

On appel ça un coup de foudre, ou tout simplement la vie. Certaines personnes sont plus influantes que d'autres. On rêve, et on imagine des choses, qui jamais n'arriverons, on le fait tous, au détour d'une rue, à la sortie d'une pièce, en rentrant chez soi, en débarquant en retard, on imagine que l'on est capable de prendre le contrôle, sur tout, sur les autres, et surtout sur nous même. On imagine des choses romantiques à vomir ou érotique à souhait et on en profite, on se crée son monde, dans lequel personne ne fait un pas de travers, à moins que ce soit calculé... Et quoi qu'il arrive tout se termine bien. Enfaite les contes de fée ont probablement été inventé par les petites filles qui rêvaient qu'on vienne les chercher dans leur chateau gardé par leur mère. Elles ont raconté des histoires à leurs poupées, puis à leurs amies, puis à leurs enfants et enfin aux frères Grimm. Enfin je dis ça mais je n'en sais rien, c'est juste que lorsque l'on y pense, les adolescentes s'imaginent tant de contes qu'on pourrait écrire un livre avec ceux là, et je suis certaines que ces histoires seraient lues, à condition quelles soient bien écrites évidemment.

 

Chuck c'est le fantasme de tant de jeunes filles ? Vous ne croyez pas ? Au début, je pensais être la seule à l'apprécier, je peux être sii égocentrique, puis en parlant, on réalise que de nombreuses filles aimeraient vingt minutes après s'etre fait larguer : entrer dans un bar, abuser de la boisson, faire un streap tease sur scène, pour enfin perdre sa vertue avec le meilleur ami de son Ex... Principalement si c'est Chuck. C'est drole comme en faite une vilaine fille reste une vilaine fille, et comme toutes les filles sont vilaines...

Jeudi 27 novembre 2008 à 12:26

Audrey souffre.



Ne vous inquiètez pas, je suis juste malade, comme une maladie qui se soigne avec des antibiotiques et des médicaments. Je suis malade alors je souffre, même si par moment, on arrive a me distraire de mes souffrances et celle-ci passe en arrière plan quelques minutes... Si vous pensez que mon coeur ou mon moral souffre alors vous vous trompez, mon moral souffre inlassablement du à la vie tout simplement, et même dans des moments très joyeux il souffre tant il pense, et cela depuis si longtemps que ce n'est pas de la souffrance c'est juste vivre. Pour ce qui est de mon coeur, étant porté aux abonnés absents, tout va bien. Je ne sais même pas s'il a eu une place important un jour... Un peu comme les états unis ont fait chaise vide à l'Onu il y a peu, mon coeur fait chaise vide en moi et laisse ma tête dirriger seule. Ma tête : cette dictature au jugement sans arrêt réfuté par elle même qui ne sait en aucun cas accorder ses pensées nouvelles aux précédentes. Non vraiment, tout va bien, je souffre ... comme des millions de personnes voilà tout.

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