Capable de disparaître à jamais ? 

Ou bien, bug informatique ?

Cher David Bowie.

Trois fois en trois jours! n'est ce pas déraisonnable que de reparler aussi souvent d'aussi vieilles histoires; j'ai essayé de faire semblant. J'ai essayé de fermer mes oreilles, de poser des questions sans écouter les réponses et de nager sans boire la tasse mais franchement là : y'a prescription! A quoi ça sert d'en reparler infiniment !? C'est peut être cette histoire qui me fait fuire, depuis le début un peu plus. Cette très vieille histoire qui obsède ces nuits d'insomnies. Ah tient quand on parle d'insomnie. Ecoutons l'album de Tryo en boucle, et comme si ça allait être un remède miracle, et le pire, c'est que l'on y croit. On prend son portable, on le repose. On le reprend, on joue au solitaire : quelle ironie du sort. On se dit qu'on aurait du ou bien qu'on aurait pas du. Que les mensonges ne sont pas forcément quand il y a absence de vérité. L'écriture libère ? Mais quand on a personne à qui écrire. Alors je t'écris, comme Will Burton le fait. Mais ne me répond pas, tu sais, je serai trop intimidé si tu le faisais. Sache juste qu'il est plus facile de fuire que de dire la vérité. Qu'il est plus facile de sourire que de crier. Qu'il est plus facile de ne rien dire que de s'expliquer.

Amicalement,
Une étrangère.

Je pense que la femme, c'est une sorte de faute de frappe, et qu'en réalité il s'est légèrement trompé dans ses caractéristiques. Alors au début, ils ont choisit la solution facilité : les hommes ont opressé les femmes, les pères décidant de qui prendrait la relève, puis les maris décidant si les femmes pouvaient faire quelquechose ou non. Puis, Les Guerres mondiales et surtout la première ont crée un déséquilibre entre Hommes et femmes. Tant de soldat mort pour la partie, et voilà que des femmes sans plus d'homme pour les dresser (ou éduquer si vous préférez) entrevoient la possibilité d'être libre de leurs décisions. De divorces, d'avorter, de voter : Et là c'est le chaos total. Une fois libre, les femmes ont la possibilité d'être ce quelles sont vraiment : une sorte de fantasie théologique.

Ainsi, on trouve des femmes qui veulent être libre mais pas seule. On  trouve une surpopulations quand aux membres de la communautée des couples libres. Et de plus en plus libre, voir carement licencieuses, les femmes ne réflechissent-elles plus ?

Je hais ta façon de me parler
Et la couleur de tes cheveux
Je hais ta façon de conduire
Et de me regarder dans les yeux
Je hais tes stupides bottes d'armée
Et ce que tu devines en moi
Je te hais au point d'en crever
Et même de te tuer parfois
Je hais ta façon d'avoir raison
Tes histoires inventées
Je te hais quand tu me fais rire
D'avantage quand tu me fais pleurer
Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es dieu sait où
Mais je hais surtout de ne pas te haïr
Ni un seul instant
Ni une seule minute
Ni même du tout.
(Je ne peux dédier ça à personne, mon coeur est vide depuis quelques temps.)




Tout ceci n'est qu'illusion, ce que nous resentons aujourd'hui sera différent demain, et même si demain c'est pareil alors la semaine prochaine ça aura changé parce que tout change toujours. J'aime cette photographie, elle est très belle, il est adorable, il semble si fragile mais il ne l'est pas, il ment comme nous tous. Nous mentons tous, certains mieux que d'autres c'est tout. Je suis une mauvaise juge de moi même alors je prefère être innocente plutôt que de me prononcer sur quoi que ce soit. L'information c'est le pouvoir mais il ne veut pas me dire combien, je veux savoir s'il a gagné, si c'est le cas, alors ce serait tellement plus simple mais tellement plus contraignant dans la simplicité, personne n'aime les choses simples. Elles sont si ennuyantes, les gens simples n'ont pas beaucoup d'ami, ils n'interessent vraiment les autres. Ou plutôt les 'autres' qui sont superficiel. Il est triste que certaines personnes ignorent qui les apprécient vraiment pour ce qu'elles sont et non pas pour l'interêt qu'elles ont. Je suis rancunière alors tampis. Ce soir, on commande pizza. A prononcer Pissa, comme pisser (faire pipi) mais avec un "a" à la fin. Le saviez-vous ?Alors cessez d'exagerer le son du Z dans mon nom de famille lorsque vous voulez vous faire remarquer : vous avez tout faux.  Depuis deux jours, je me demande qui a tué Kennedy... On ne le saura jamais : c'est ce que déclare de brillant journaliste pour Paris Match. Après tout je suis peut être curieuse, sauf que les histoires de la vie personnelle des autres sont moins interessantes que la politique et l'histoire de ce pays. Six millards d'hommes et de femmes sur terre, et on trouve que soixante réunnit en exterrieur c'est trop ? L'illogisme de la loi c'est indéniable, pourquoi ne pas nous laisser nous amuser, boire, fumer, danser et même baiser jusqu'à la nuit de temps. Embrassez qui vous voudrez. Je ne pose pas de question. Dites moi ce que vous voulez, je ferais de même. Soyons réciproque. "Rend-moi mon pêcher". Roméo ne voulait que baiser Juliette en fin de compte, et Juliette ne voulait que préserver sa réputation avant de se faire plaisir egalement. Et on appel ça de l'Amour. Cinq jours, et une partie de jambe en l'air, n'est-ce pas ce que nous aussi vivons régulièrement, et parce qu'on ne crève pas à la fin personne ne s'en préoccupe plus d'une soirée de glandage sur le net avec aucun sujet plus interessant. On a des histoires dans fin, plus que de raison, mais nos histoires ont toujours une fin, que l'on n'imagine même pas avant que le récit débute mais que l'on sent venir de loin. C'est quand on ne sent aucune fin que notre coeur se brise ; pour un temps du moins. Mais mettre des points virgules est-ce la solution ? Summerbreeze, elle est revenue et le sourire aussi. La pizza est sur la table. Je dois partir, quand vous reverrais-je ? Qu'importe : On est en vie.