Samedi 13 septembre 2008 à 23:44

 

Et moi je suis là, assise au bord du monde, prète à tout pour éprouver quelquechose. Prête à faire l'amour n'importe où. Prête à connaitre de nouvelles sensations. Prête à connaitre de nouvelles personnes. Prête à vivre quelquechose de nouveau. Prête à changer mes principes. Prête à changer ma pensée. Prête à regarder en boucle un épisode de Californication. Prête à aller au restaurant avec ce garçon. Prête à prier, manger, aimer. Prête à penser à son avenir. Prête à raccrocher au nez des gens. Prête à passer pour ce que je ne suis pas. Prête à parler.
Prête à essayer. Prête à jouer le jeu.

 

 

P.S. : [J'aime VDM.fr]

Mercredi 10 septembre 2008 à 17:11

Certaines personnes tentent de ne pas croire en l'amour, de ne pas donner d'importance à ce sentiment parce qu'elles savent que l'amour fait souffrir. Alors, lorsqu'elles tombent amoureuses elles sont si en colère contre elles-même d'être tombée dans ce piège qu'elles font tout pour que l'autre se débarasse d'elles le plus vite possible. Mais plus elles échouent, plus elles sentent que l'autre ne veut pas se separer d'elles : plus elles aiment. Plus elles se sentent emprisonnées dans leur sentiments ; plus elles se rendent compte qu'elles aiment : plus elles savent qu'elles vont souffrir. On ne sort jamais d'une guerre indemme. A la guerre des guerriers meurent. En amour, des amants souffrent. Et souffrir c'est pire que mourrir.

Samedi 6 septembre 2008 à 17:12

 

Mon blog ne ressemble à plus rien pour moi. Je deteste devoir faire des articles hors lignes parce que je ne peux dire tout ce que je pense tout haut. Je sais c'est malhonnète. Je ne cesse de mentir, à presque tous. Je ne m'assume pas. Je n'ai pas honte, c'est juste que je ne trouve jamais comment. Hier, une vague d'empathie c'est emparée de moi. Je suis parvenu à me mettre à la place de cette folle amie. Ca m'a rempli de drole d'émotion que je ne connaissais pas auparavent, pas aussi intencément. Alors tout ce que je venais de dire a chacun lors des minutes précédentes n'avait plus aucun sens. J'avais changé. En bien. Pas forcement pour moi, mais quelle importance. Mon egoisme, et mon egocentrisme durant cet instant se sont endormis. Mais maintenant encore je me cache et je mens.
MENTEUSE.

 

(Mais heureuse ! )

 

Jeudi 4 septembre 2008 à 21:17

Ce garçon dit : Bah c'est bizarre, c'est juste que j'ai ressenti ça depuis longtemps pour aucune fille. Et puis lorsqu'elle n'est pas avec moi, elle me manque.
Cette fille dit : Je ne sais pas, quand je ne le vois pas, je veux le voir. A la récré, j'aime le chercher, et puis j'adore sa présence. Je n'ai jamais eu envie de le quitter parce que je suis bien, vraiment. Et puis, je ne fais plus attention aux autres garçons enfin, ils peuvent être beaux mais ils ne sont pas lui. Je ne l'idéalise pas non plus, mais j'aime sa façon d'être. Et puis, je me suis découverte un minimum de jalousie.
Ce garçon dit : Parce qu'elle m'aime.
Cette fille dit : Hé bien, parce que je ne peux plus me passer de ces "je t'aime", je ne peux pas me passer de nouvelle de lui durant une journée. Parce que j'aime le toucher et lui parler, parce que c'est vraiment bien de pouvoir se reposer sur un homme comme lui. Parce que je me sens bien avec lui.
Cette fille dit : Quand tu as un pincement au coeur quand tu le vois, quand tu es heureuse de te lever le matin, parce que tu sais que tu vas le voir aujourd'hui. Quand tu apprends par quelqu'un d'autre qu'il a fait une éloge sur toi. Quand tu as tout le temps envie de le voir, de l'embrasser, de passer du temps avec lui.

 [Tout change toujours, ce qui est difficile c'est de ne pas changer.]

 

Jeudi 4 septembre 2008 à 20:39

Pourquoi est-ce que je suis si contente de reprendre les cours et d'avoir des devoirs ?
Pourquoi les gens sont-ils méchant ?
Pourquoi j'ai envie d'avoir mon bac.avec mention et avec la mention Classe europeene, (comme si c'était possible...) ?
Pourquoi je me prends la tête à donner des noms à des choses qui n'en ont pas ?
Pourquoi j'aime tant l'école ?
Pourquoi je suis si optimiste ?
Pourquoi j'ai tant hâte d'avoir cours d'allemand ?
Pourquoi je me pose tant de question ?
Pourquoi je veux faire tant de chose ?
Pourquoi je veux que le temps passe si vite ?


Un jour, Ce jour, Un jour.

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