Mes doigts sont lourds, j'appuie sur chacunes des  touches du clavier comme si ça me pesait. Mes membres sont fatigués, tout comme mon coeur et mes yeux d'être et d'avoir été si triste ces dernières heures.  Cette lecture m'a devastée, cette intruision dans ma vie privée tout autant. Je me demande si j'ai menti pour être libéré, ou bien si j'ai dis tout haut ce que je n'osais pas avouer avant. Peut être que certaines choses ne sont pas faite pour evoluer. Non, je ne peux pas avoir été honnète lorsque j'ai dit que je m'en fichais, sinon je n'y penserais pas autant, sinon je ne m'exociserais pas ici. Elle a cru qu'un remplacement serait effectuée, lorsqu'elle a dit ça, j'ai été extremement choquée, et dans ma tête c'est le vide que j'ai vu. Je ne peux qu'avoir menti. Je suis triste mais j'aime mieux être triste qu'heureuse par moment, lorsque le bonheur est dans ma vie, instentanément la peur s'installe dans mon cerveau et me rend paranoïaque, alors que lorsque je suis triste, je n'ai peur de rien. Je n'ai peur de rien parce que la tristesse me fait croire que j'ai perdu beaucoup de chose. Je pense à plusieurs choses importantes que j'ai perdu, certaines que je n'ai jamais veritablement possédé mais que je n'aurais sans doute jamais. Je crois que même s'il se passe quelquechose, je ne veux pas le savoir, je veux rester dans mon malheur, je veux rester comme je me crois être en ce moment : Egocentrique.